Le logo CANAL+ appartient à une chaîne de télévision généraliste nationale française privée à péage, axée sur le cinéma et le sport.
Signification et histoire
1984
La première identité de la chaîne a été créée par Étienne Robial de On/Off Productions. La musique originale a été créée par Philippe Eidel et Arnaud Devos.
1995
L’identité d’origine est restée jusqu’en 1995, date à laquelle elle a été remaniée. Le logo a été modifié au fur et à mesure que l’ellipse a été enlevée. Le mot-symbole Canal+ serait désormais toujours contenu dans un rectangle noir de 3 sur 12.
Les points d’identification étaient principalement centrés autour d’une grille de 6 par 8 qui remplissait la majeure partie de l’écran, avec des rectangles se déplaçant dans cette grille.
Au cours des années 1990s, Canal+ s’est développé dans toute l’Europe, arrivant en Espagne (1990), en Pologne (1994), au Benelux et aux pays nordiques (1997). Les autres versions utilisaient des versions adaptées des graphiques français. Beaucoup de ces actifs ont été vendus au cours de la prochaine décennie, et maintenant la version polonaise est la seule qui partage encore son identité avec la chaîne française.
2003
La troisième série de graphiques pour Canal+ a été lancée en 2003. Il s’agissait d’une évolution par rapport à la conception précédente, une fois de plus axée sur les motifs rectangulaires se déplaçant sur l’écran.
2004
Le nouveau look est venu en Pologne en 2004.
2009
Une refonte complète de Canal+ a été réalisée en 2009. La seule chose qui reste était le logo, bien qu’il soit maintenant autorisé à laisser son rectangle noir à l’écran. L’agence derrière la remarque était Devilfish.
Le nouveau look a été lancé sur les cinq chaînes françaises le 31 août 2009.
Les nouveaux idents pour tous les canaux disposent de quatre écrans et à la fin de l’ident, le signe plus dans le logo est placé au milieu. Les idents du canal principal Canal+ présentent des gros plans de diverses abstractions. La bande originale des idents pour Canal+ et Canal+ Décalé a été réalisée par Norbert Gilbert.