Le logotype du fabricant américain de vêtements de plein air Timberland, le fabricant des célèbres chaussures Timberland, est à la fois significatif et reconnaissable.
Signification et histoire
La métaphore visuelle derrière l’emblème est étroitement liée à la signification littérale du nom de la marque. Si l’on considère que « Timberland » est en fait « une terre où poussent beaucoup d’arbres », la représentation d’un arbre semble être le choix le plus naturel.
Symbole
L’emblème arbore un arbre branchu avec une couronne dont la forme est très proche d’un demi-cercle. Le symbole est placé à droite du mot-symbole de l’entreprise, qui est indiqué en lettres grasses. Le mot-symbole et l’emblème sont noirs, tandis que l’arrière-plan est blanc.
Controverse sur l’emblème
La marque et son logo ont été mentionnés dans un contexte extrêmement négatif dans un poème intitulé « Vêtements » ou « FUBU », qui a commencé à circuler sur le Web au printemps 1999. Le poème aurait été écrit par la poétesse afro-américaine Maya Angelou. , mais elle a affirmé plus tard que ce n’était pas le sien. Dans le poème, l’arbre de Timberland était décrit comme un arbre à lyncher, sur lequel des Noirs étaient pendus. Le contenu du poème aurait pu être expliqué par les rumeurs selon lesquelles les propriétaires de l’entreprise appartiendraient au Ku Klux Klan. L’entreprise a déployé beaucoup d’efforts pour essayer de se débarrasser de ces rumeurs.
Que signifie le logo Timberland ?
Que signifie le logo Timberland ? Le logo est construit autour d’un arbre aux branches fortes, qui semble être un emblème tout à fait naturel pour une entreprise dont le nom signifie « terre couverte d’arbres ». Selon la rumeur, l’emblème symboliserait les arbres sur lesquels les esclaves afro-américains étaient pendus. La rumeur a été soutenue (ou lancée) par un poème spécifique de Maya Angelou.
Police de caractère
La police de caractères que l’on peut voir dans le logo Timberland ressemble beaucoup à la police d’affichage Windsor SB XBold Condensed, qui a été créée par la graphiste Eleisha Pechey.